Jouer.
Jouer parce que quand il y a du jeu, c’est que ça bouge.
Jouer de d-rôles de rôles, de la musique aussi, jouer avec les mots et les é-mot-ions, jouer à mixer le grave et le léger, le vrai et le faux, le frais et le veau, jouer entre enfance et âge adulte.

Jouer pour arriver à comprendre les règles du jeu et quand on y parvient, pour partager la surprise de la découverte avec qui le veut bien.
Jouer pour (se) perdre parfois, mais gagner le plus souvent la rencontre avec d’autres.
Jouer sans tricher (vraiment ?…), sans trancher (quoique…), pour que ça chante à plusieurs.
Jouer parce que vivre sans jouer, c’est pas une vie. Pas plus que vivre sans rêver.
Je joue parce que je vis, quoi…
